“Dans une campagne, ce qui compte c’est la dynamique”.
La phrase a beau être signée Nicolas Sarkozy, elle correspond aujourd’hui à ce que porte Ségolène Royal : le mouvement, la force d’entraînement.
Là est bien l’effet majeur des quelque 60 % de suffrages obtenus par la candidate socialiste face à ses deux compétiteurs masculins dans la primaire présidentielle du PS.
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