A droite, sans critiquer le principe de l’intervention, certains s’interrogent de plus en plus ouvertement sur la solitude de la France sur le terrain de la guerre au Mali et le cap fixé par Hollande.
De la vibrante «union nationale» au «soutien vigilant». Dix jours après le début de l’intervention française au Mali, ils sont plus nombreux, à droite, et surtout à l’UMP, et surtout François Copé (tu m’étonnes !) à s’interroger, non pas sur le principe de la mission Serval mais sur ses contours, ses modalités et la méthode de François Hollande.
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